Campagne Orange conçue par Publicis Conseil

Dispositif TV, web, print

Première diffusion 19 novembre 2020

Rendez-vous incontournable et attendu chaque année, Orange lance sa nouvelle campagne de fin d’année imaginée par Publicis. Dans le contexte actuel sanitaire et économique instable, alors que la célébration des fêtes de fin d’année et ses rituels semblent incertains, Noël reste pour autant une parenthèse enchantée pour les Français. En cette période de fêtes, nous avons plus que jamais besoin de resserrer les liens avec nos proches. Réalisé par Vincent Lobelle (Iconoclast), le film « Papi Licorne » montre à quel point les nouvelles technologies nous permettent de garder le lien et de se fabriquer des souvenirs avec ceux qui nous sont chers, toutes générations confondues. Le film raconte l’histoire d’un grand-père qui se voit offrir un smartphone le soir du réveillon. Un cadeau dont il ne maîtrise pas les usages manifestement. Jusqu’au jour où il reçoit une photo de sa petite-fille avec un filtre Licorne. Seul dans son atelier, il va alors scier, couper, coudre, peindre, pour un résultat étonnant home-made, et qui grâce à son nouveau mobile, va faire rire à son tour sa petite-fille. Conte des temps modernes mais intemporel, avec un étonnant Gepetto/Géo Trouvetout à l’âme enfantine et à l’imagination débordante accompagné par la musique de Nino Rota, le film à l’ambiance cinématographique raconte avec un humour non dénué d’émotion comment la technologie peut rassembler les jeunes et les anciennes générations, à leur façon. Une notion importante pour les équipes créatives, Benjamin Sanial et Raphaël Halin, sous la direction de Fabrice Delacourt qui nous resitue le brief : « Avec Benjamin et Raphaël, on a enchainé le film du jouet téléphone et celui-là. Orange est dans une année d’engagement, dans une logique d’être responsable, avec notamment le recyclage des téléphones, ainsi que la création d’Ateliers Numériques pour éviter la fracture numérique et sociale. Le brief vient croiser ces offres-là et celles plus pragmatiques sur les mobiles, qui viennent nourrir la signature de la marque : vous rapprocher de l’essentiel. Orange raconte des histoires entre les gens, autour de la famille, grâce à ses usages. Le contexte du Covid a montré que les outils numériques ont permis de travailler, de se divertir, de rester en contact. Le brief tient compte de tout ça avec l’intention de raconter une jolie histoire à Noël comme on le fait depuis plusieurs années. Pour terminer l’année avec du sens, avec de l’inclusion numérique bien sûr, mais on voulait prendre les gens comme ils sont. Pour Orange c’est important que chacun garde sa personnalité. L’adolescente allait plonger dans le numérique, Snapchat, Instagram tandis que son grand-père à qui elle offre un smartphone, un ovni pour lui, va répondre avec sa créativité à lui, et c’est Orange qui va réunir tout ça grâce au réseau. Ce qui est extrêmement touchant c’est qu’il va arriver avec son univers à lui, qui a son âge, et que sa démarche va créer la complicité avec sa petite-fille. » Aux commandes de ce film, Vincent Lobelle, un choix évident : « On a déjà travaillé ensemble avec Vincent, il excelle dans la comédie, tant par sa direction d’acteurs que sa direction artistique. Son film Intersport démontrait aussi une sensibilité et une émotion que l’on recherchait pour ce film. » Quant à la musique de Nino Rota signature du film Huit et Demi de Fellini qui semble avoir inspiré le film, elle s’est imposée le montage fini : « En général on part avec la musique et c’est le montage qui décide. On voulait une musique qui ait une énergie qui vienne nourrir l’image. On a tenté du pop, et d’autres pistes, mais chaque fois ça se « rajoutait » sur l’image. On voulait que le papi soit crédible, que ça soit lui qui construise son « filtre » avec ses outils, pas un chef déco. L’énergie qu’amène cette musique, au côté un peu cirque aussi, vient nourrir le papi dans sa démarche, cet aspect un peu home-made, « théâtre ». Ça devient un objet cohérent avec les images. Comme pour le choix de Vincent, cette musique était une évidence. On peut dire que c’est le film qui a choisi sa musique ! »

Autres artisans de ce film de Noël pas comme les autres, Vincent Lobelle préfère parler des équipes plutôt que de son apport au film: « Le film était écrit comme ça, je me suis mis dans le moule. On est toujours dépendant du bon script, c’est la bonne création qui fait les bons films. Pour ce conte de Noël moderne avec un papi au côté enfantin, j’ai bénéficié des talents de Matias Boucard à la lumière pour apporter une dimension cinématographique, du chef décorateur Andy Kelly qui est un artiste un peu homemade lui aussi et qui travaille avec Dougal Wilson, et d’un acteur extraordinaire anglais. Les anglais ont un langage visuel expressif sans démonstration de force, ils sont bons pour communiquer sans mots. La musique, qui est toujours importante pour Orange, contribue elle aussi à cette optique de film de cinéma pour célébrer cette période normalement festive ». Fabrice Delacourt conclut : « C’était un travail d’équipe, créatifs et tv Prod (Benjamin Auberdiac) avec qui on fait tous les films Orange. On est hyperfiers de terminer l’année avec cette belle histoire qui montre que la vie continue ».

 

Production
réalisateur Vincent Lobelle
directeur de la photographie Matias Boucard
production Iconoclast
producteur Domitille Laurens
Agence
agence Publicis Conseil
chief creative director Marco Venturelli
directeur de la création Fabrice Delacourt
copywriter Benjamin Sanial
directeur artistique Raphael Halin
tv prod Benjamin Auberdiac
Client
client Orange
Technique
directeur de production Lien Moulin
production de service Abyssal
styliste Reem Kuzali Zanoli
chef décorateur Andy Kelly
agent de directeurs de la photographie Kinou | Cinematographer Agency
Post-production
monteur Cyril Nakache
post-production Prodigious
post-producteur Franck-Hervé Marc
musique Nino Rota - La Passerella d’Addio
production son Prodigious
producteur son Joel Tessonneau