Charlotte Marmion, nouvelle productrice chez Iconoclast

Charlotte Marmion rejoint Mourad Belkeddar et Nicolas Lhermitte les fondateurs d’Iconoclast, en tant que productrice.
Bien connue dans le milieu de la production pour sa carrière de directrice de production globe-trotter free-lance, Charlotte Marmion, devenue maman depuis peu, a accepté ce premier poste fixe, sollicitée par les deux producteurs pour mener ensemble tous les nouveaux projets publicitaires, face au développement fulgurant de leur société créée il y a guère plus de 2 ans.

Après des débuts à 19 ans auprès de Georges Bermann de Midi Minuit- Partizan, Charlotte Marmion a pris goût au métier en enchaînant les productions de clips à la grande époque du genre, tissant des relations solides avec des réalisateurs comme Quentin Dupieux passé depuis à la fiction. Son expérience reconnue l’amène à travailler régulièrement à l’international avec des productions réputées comme Smuggler, The Directors Bureau, Blink et des réalisateurs de renom (Jonas Akerlund, Patrick Daughters ou Johan Renck) pour de grandes marques et des productions françaises comme Soixan7e Quin5e.
Mais c’est également sur des clips qu’elle se lie avec Romain Gavras, Megaforce, We Are From L.A qu’elle retrouve avec plaisir chez Iconoclast sur des projets ambitieux de publicités:  » Chez Iconoclast, nous sommes un peu comme des artisans. C’est une petite production à échelle humaine avec différentes branches : le clip, qui a son importance en tant que tremplin pour les jeunes talents, la photo, l’événementiel, et la structure interactive.
Le métier de producteur devient de plus en plus diversifié et interactif, il faut aller chercher des compétences dans divers domaines. Ce qui est bien chez Iconoclast, c’est qu’on peut faire appel à ces compétences au sein de la production, nous sommes tous dans les mêmes bureaux. Et j’apprécie de travailler avec des réalisateurs aux talents si différents comme Harmony Korine, Paul Gore, Adrien Armanet ou les Canada qui viennent de rejoindre Iconoclast. C’est ce qui fait la force d’Iconoclast, qui séduit autant les publicitaires que les réalisateurs.  »