PREMIER DEGRÉ x YOHANN GLOAGUEN : « METTRE (PEUT-ÊTRE NAÏVEMENT) PLUS DE CINÉMA SINCÈRE DANS LA PUBLICITÉ »

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Chez Premier Degré, les films — publicitaires ou non — sont pensés pour des spectateurs avec lesquels on veut partager une véritable histoire. Une approche qui dépasse le message commercial pour privilégier l’émotion, l’intime et le récit comme moteurs de l’engagement du public.

C’est dans cette logique que s’inscrit l’heureuse arrivée chez Premier Degré de Yohann Gloaguen, qui vient de réaliser son premier long-métrage Prosper avec Jean-Pascal Zadi (Distribué par Le Pacte, produit par Douze Doigts production et Capricci films).

Ensemble, Premier Degré et Yohann affirment une ambition commune : dépasser la notion de consommateur pour s’adresser directement au spectateur qui se cache derrière, et insuffler davantage de cinéma sincère dans la publicité.

Une collaboration fondée sur la volonté de faire primer un casting exigeant permettant une incarnation puissante des personnages, une fraîcheur dans la mise en scène et l’exploration de formats hybrides, parfois plus longs, pour créer des histoires qui “prennent leur temps”
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L’une des grandes forces de Yohann réside dans sa détection et direction d’acteurs, directement héritée de la fiction. Il collabore régulièrement avec des directrices de casting cinéma (Okinawa Guérard et Marine Albert) et son lien fort avec des comédiens dont le jeu, la présence et la personnalité pourraient largement enrichir la narration publicitaire (Jean-Pascal Zadi, Daniel Auteuil…)

Chez lui et c’est totalement partagé avec les valeurs de Premier Degré: l’humain prime toujours, le brief et le script sont un point de départ, jamais une limite créative et enfin, le doute, les intuitions et le travail d’équipe font partie intégrante du processus créatif.
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Yohann Gloaguen a réalisé une trentaine de films publicitaires (TV, web, web-séries) ainsi que cinq courts-métrages de fiction, sélectionnés et primés dans de nombreux festivals internationaux. Il a également co-écrit le long-métrage Oranges sanguines de Jean-Christophe Meurisse, présenté au Festival de Cannes en 2021.
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En résumé, Premier Degré et Yohann Gloaguen, c’est moins de slogans et plus de cinéma ; moins de cibles et plus de spectateurs ; moins de formats strictes et plus de récits libres.